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Le cauchemar des multiculturalistes : 50% des musulmans d’Europe réclament l’islamisation et la charia
La majorité des musulmans en Europe pense que la loi islamique de la charia devrait avoir la préséance sur les constitutions et les lois laïques de leurs pays d’accueil. Selon une nouvelle étude, le fondamentalisme islamique progresse très rapidement en Europe occidentale.
Une enquête comparative d’intégration des immigrants turcs et marocains, effectuée dans six pays occidentaux – Autriche, Belgique, France, Allemagne, Pay-Bas et Suède -a été publiée le 11 décembre dernier par le WZB Berlin Social Science Center, l’un des plus grands instituts européen de recherches en sciences sociales.
D’après cette étude, dirigée par le sociologue néerlandais Ruud Koopmans et financée par le gouvernement allemand :
- 65% des musulmans interrogés affirment clairement que la loi islamique de la charia est plus importante à leurs yeux que les lois du pays dans lequel ils vivent.
- 75% des personnes questionnées partagent l’avis selon lequel il n’existe qu’une seule interprétation légitime du Coran, qui devrait s’appliquer à tous les Musulmans.
- Près de 60% des musulmans estiment que leur communauté doit revenir à ses racines islamiques.
- 44 % des Marocains et des Turcs interrogés adhèrent à ces déclarations fondamentalistes.
- Ces idées fondamentalistes se propagent non seulement chez les jeunes musulmans, mais également chez les plus âgés.
Les résultats de l’étude montrent que le fondamentalisme islamique est plus marqué en Autriche, où :
- 73 % des musulmans interrogés déclarent que la charia est plus importante que les lois laïques de l’Etat,
- 79% affirment qu’il n’y a qu’une seule interprétation correcte du coran et elle devrait s’appliquer à tous,
- 65% pensent que les musulmans doivent revenir à leurs racines islamiques,
- et 55% approuvent les idées énoncées ci-dessus.
L’auteur de l’étude affirme que les comparaisons avec d’autres études allemandes révèlent des tendances très similaires.
• Par exemple, en 2007, une étude sur les « Muslim in Deutschland » avait révélé que 47% des musulmans allemands estimaient que les lois de la charia étaient supérieures aux lois de l’Etat allemand. Dès lors, suivre les règles de sa « religion » l’emportait sur la démocratie.
Grande hostilité des musulmans envers les minorités
L’enquête montre également la grande hostilité des musulmans envers les minorités, qui sont perçues comme des menaces par le groupe religieux :
60% des Musulmans interrogés rejettent les homosexuels, et 45% déclarent que les Juifs ne sont pas dignes de confiance.
Les musulmans autrichiens semblent être les plus fondamentalistes d’Europe :
- 60% des musulmans autrichiens rejettent les homosexuels comme amis,
- 63% affirment que l’on ne peut pas faire confiance aux Juifs,
- 66% sont persuadés que l’Occident essaye de détruire l’islam.
A titre de comparaison, parmi les Européens non musulmans sondés pour l’enquête dans les six pays ci-dessus :
- 8% expriment leur méfiance envers les Juifs,
- 10% déclarent leur aversion envers les homosexuels,
- 21% n’aiment pas les musulmans,
- 1.4% ne supportent ni les juifs, ni les homosexuels, ni les musulmans.
Pour Koopmans, le fondamentalisme musulman n’est pas une forme innocente d’une religiosité stricte. Alors qu’un Européen sur cinq peut être considéré comme islamophobe, le niveau de phobie contre l’Occident exprimé par les Musulmans, pour lequel il n’existe pas de terme, sinon « l’occidentalophobie » est beaucoup plus élevé : 54% des Musulmans croient que l’Occident veut détruire l’islam.
Ces résultats, dit Koopmans, contredisent clairement l’affirmation souvent entendue que le fondamentalisme religieux islamique est un phénomène marginal en Europe occidentale, comparable à l’intégrisme au sein de la majorité chrétienne. Or cette allégation est erronée, car 50% des Musulmans en Occident veulent revenir aux racines de l’islam, affirment qu’il n’y a qu’une seule interprétation du coran, applicable à tous, et que la loi islamique de la charia est supérieure aux lois laïques.
Parmi les Chrétiens en Occident, moins d’un sur vingt-cinq peut être considéré comme fondamentaliste.
L’intégrisme religieux islamique et ses corrélats : homophobie, antisémitisme et « occidentalophobie » devraient vivement inquiéter les gouvernements occidentaux et les leaders des communautés musulmanes. Evidemment, l’intégrisme religieux ne doit pas nécessairement être assimilé à l’envie de faire usage de la violence pour des motifs religieux, mais, vu son hostilité envers les minorités perçues comme des dangers, l’intégrisme religieux peut facilement nourrir le terreau de la radicalisation.
Une société libre peut être vaincue et soumise
« Les données ne sont pas suffisantes pour tirer de simples conclusions » écrit Die Welt, toutefois, les démocraties doivent se méfier de ceux qui pensent qu’une société libre peut être vaincue et soumise.
D’autre part, un document de travail publié par la Fondation Gustav Stresemann, basée en Allemagne – un groupe de réflexion dédié à la préservation et à la promotion de la démocratie libérale en Europe – lance un avertissement des plus inquiétants : les organisations islamiques nationales et internationales exercent de plus en plus de pression sur les politiciens occidentaux dans le but de faire criminaliser progressivement toute critique de l’islam.
La quotidien allemand « Die Welt » déclare dans un commentaire que l’étude jette de sérieux doutes sur l’optimisme angélique des « multiculturalistes » européens, pour qui les citoyens musulmans finiront par intérioriser l’état d’esprit et les valeurs des démocraties occidentales.
Le politologue scientifique Félix Strüning, auteur du document publié par la Fondation Gustav Stresemann présente dans son rapport une analyse méticuleusement détaillée des efforts entrepris par le lobbying islamiste pour réduire au silence Thilo Sarrazin – politicien socialiste, économiste et banquier allemand -, via des poursuites judiciaires, pour s’être rendu coupable d’avoir critiqué le refus des immigrants musulmans à s’intégrer dans la société allemande, ce qui, paradoxalement, est précisément ce qu’ils revendiquent.
En octobre 2009, au cours d’une interview avec un magazine culturel, basé à Berlin, Lettre International, T. Sarrazin avait déclaré :
“Un grand nombre d’Arabes et de Turcs de cette ville n’exercent aucune profession productive, à l’exception du commerce de fruits et légumes. Le nombre de naissances parmi les Arabes et les Turcs est deux fois supérieur à celui de la population allemande. Une grande partie de ces immigrants, soit refusent de s’intégrer, soit sont incapables de le faire. La solution à ce problème serait d’arrêter l’immigration, à l’exception d’individus hautement qualifiés, et de ne plus offrir de protection sociale aux immigrants.
Les immigrants doivent faire l’effort de s’intégrer. Je n’ai pas à accepter des personnes qui ne fournissent aucun effort. Je n’ai pas à accepter des personnes qui vivent de l’assistanat, de la générosité d’un Etat, qu’ils rejettent par ailleurs. Je n’ai pas à accepter des personnes qui ne s’occupent pas de l’éducation de leurs enfants, voilent de plus en plus leurs petites filles et refusent l’intégration. Cela s’applique à 70% des immigrants turcs et à 90% des immigrants arabes de Berlin. »
Politiquement très incorrect : « Lorsque des immigrés turcs, même de la troisième génération, ne parlent pas encore vraiment allemand, on en rend responsable l’hostilité de l’environnement, qui a empêché l’intégration. Mais pourquoi, on se le demande, ces difficultés n’apparaissent-elles pas dans la quasi-totalité des autres groupes de migrants ? »
Jeunes musulmans agressifs : « De façon indéniable, le problème allemand de l’éducation est le plus souvent un problème de migrants musulmans. (…) Il existe un lien tout à fait réel entre les mauvais résultats scolaires des migrants turcs en Allemagne et les mauvais résultats du système scolaire turc à l’étude Pisa 2006. Cette mauvaise position joue un rôle notable dans le potentiel agressif de nombreux jeunes Turcs et Arabes. »
La liste des problèmes que posent certains immigrés : « La problématique particulière liée aux immigrés islamiques ne se limite pas à l’Angleterre. Dans tous les pays concernés – Angleterre, France, Allemagne, Pays-Bas, Belgique, Danemark ou Norvège –, on fait des constatations comparables à propos du groupe des migrants musulmans, à savoir :
– intégration au marché du travail inférieure à la moyenne,
– dépendance à l’égard des transferts sociaux supérieure à la moyenne,
– participation à l’éducation inférieure à la moyenne,
– taux de natalité supérieur à la moyenne,
– ségrégation topographique, avec tendance à créer des sociétés parallèles,
– religiosité supérieure à la moyenne, avec une tendance croissante à rejoindre les courants traditionnels ou fondamentalistes de l’islam;
– criminalité supérieure à la moyenne, depuis la « simple » criminalité violente dans la rue jusqu’à la participation à des activités terroristes. »
On ne peut plus clair : « Sur le plan économique, nous n’avons pas besoin de l’immigration musulmane en Europe. Dans tous les pays, les immigrés musulmans, compte tenu de leur faible participation à l’activité professionnelle et de leur forte consommation de prestations sociales, coûtent plus cher aux caisses de l’État qu’ils n’apportent de valeur ajoutée. Du point de vue de la culture et de la civilisation, les images de la société et les valeurs qu’ils défendent constituent une régression. »
Un mot sur la France : « La France a connu, en plusieurs vagues, des immigrations polonaise, juive, chinoise et vietnamienne. Toutes ont connu la réussite économique, se sont intégrées sans problème et ont peu à peu fusionné avec la société majoritaire sans avoir recours aux aides de l’État. Mais la France a de tout autres problèmes avec les immigrés musulmans, notamment en provenance d’Algérie. Walter Laqueur émet cette supposition : « Il doit y avoir, dans l’attitude mentale de ceux qui se sentent marginalisés, quelque chose qui leur rend plus difficile l’accès à la réussite existentielle. »
Un peu de populisme : « Une partie des Allemands – y compris de l’élite – n’a pas encore compris le problème. Dans le monde où ils vivent, logent et travaillent, les immigrés musulmans n’apparaissent que pour venir nettoyer les bureaux, ou bien comme décor exotique lors d’une visite occasionnelle à Berlin-Kreuzberg. Une partie des intellectuels et de la presse libérale semble même éprouver une joie secrète à l’idée que l’immigration musulmane sape la société allemande. »
L’Association turque de Berlin – Brandebourg (Türkischer Bund Berlin – Brandebourg, TBB) avait poursuivi T. Sarrazin pour incitation à la haine (Volksverhetzung). Toutefois, les procureurs allemands avaient rétorqué que les déclarations de T. Sarrazin étaient protégées par la liberté d’expression et clôturèrent le dossier.
Furieux, le TBB s’adressa alors au CERD (Comité pour l’élimination de la discrimination raciale). Ce Comité fut chargé de déterminer si les déclarations de T. Sarrazin violaient la convention internationale sur l’élimination de la discrimination raciale.
En février 2013, le Comité affirma que les déclarations de T. Sarrazin transgressaient la convention, car elles exprimaient des idées de supériorité raciale, niaient le respect dû aux êtres humains et stigmatisaient la population turque. Le Comité ajouta que les déclarations de T. Sarrazin incitaient à la discrimination raciale, car celles préconisaient la suspension des prestations sociales aux Turcs, à l’exception des personnes hautement qualifiées, et l’arrêt de l’immigration.
Il est important de souligner que le CERD a également critiqué l’article 130 du Code pénal allemand, (le paragraphe d’incitation à la haine Volksverhetzungsparagraf), car il protège la liberté d’expression garantie par la Constitution allemande, à condition qu’elle ne soit pas utilisée pour nuire à la paix sociale et à la sécurité publique. Et cette dernière partie gène le CERD.
Le CERD prévoit une limite légale beaucoup plus basse, au-delà de laquelle un discours peut être qualifié de discours de haine. La convention des Nations Unies ne stipule pas qu’un discours devient discours de haine s’il est susceptible de nuire à l’ordre public. Le CERD fait dès lors pression sur l’Allemagne pour qu’elle modifie sa législation, afin d’être en conformité avec la convention des Nations Unies, en supprimant de sa loi le seuil légal délimité par « discours susceptible de nuire à l’ordre public ».
Selon F. Strüning, si l’Allemagne devait accéder à cette exigence, il serait dès lors permis d’interdire toute déclaration sur l’islam ou les musulmans, ce qui signifierait une atteinte irréversible à la liberté d’expression. Même si le gouvernement allemand a jusqu’à présent refusé de ré-ouvrir l’enquête sur T. Sarrazin, F. Strüning souligne le danger que fait courir le CERD à la liberté d’expression et aux autres droits fondamentaux en Europe et aux USA, car il autorise les représentants d’états, qui ont clairement une autre compréhension des droits de l’homme, à porter des jugements au sein des Nations Unies.
« Les Nations se sentent obligées de vérifier si les lois existantes sont valables ou si elles doivent être ajustées. Traiter avec des groupes musulmans implique clairement un nouveau défi politique, car de nombreux musulmans préservent farouchement leurs valeurs culturelles et religieuses et les transmettent à l’intérieur de leurs communautés, tout en les défendant de façon virulente à l’extérieur. »
F. Strünning déplore que les Autorités politiques allemandes se plient de plus en plus aux pressions des organisations islamiques allemandes en adoptant les définitions musulmanes de l’islamophobie, lors de discours publics, créant ainsi une incertitude légale, quant à qui peut dire quoi à propos de l’islam et des musulmans en Allemagne. Par exemple, les autorités allemandes ont officiellement confirmé qu’elles surveillaient les sites internet allemands qui critiquent l’immigration musulmane et l’islamisation de l’Europe.
Et Strüning de conclure :
“Les personnes qui critiquent l’idéologie et les organisations islamiques sont constamment confrontées à des poursuites judiciaires et doivent se défendre contre les accusations de blasphème ou d’incitation à la haine. Même si elles n’aboutissement pas toujours à une condamnation, cela coûte énormément de temps et d’argent, et ces personnes voient leur réputation salie et parfois perdent leur emploi. Dès lors, même en Occident, nous assistons à l’application de facto de la loi islamique de la charia en ce qui concerne l’islam. »
« Les Allemands constatent que la « spirale du silence » en relation avec l’islam est déjà appliquée aujourd’hui. Lors d’une enquête représentative en Allemagne, la majorité des gens interrogés a admis ne pas oser critiquer l’islam et les musulmans en public »…
Rosaly : Amer constat et conclusion d’une extrême gravité. Jusqu’où ces irresponsables politiques, semeurs de haine envers leurs propres peuples, vont-ils pousser les limites de l’insupportable et nous imposer humiliation et soumission à l’idéologie islamique et à ses fidèles ; à faire de nous, dans nos propres pays, des parias réduits au silence, tout en fermant les yeux sur les associations musulmanes, écoles islamiques, mosquées, qui prêchent et enseignent la haine de la société occidentale, de la laïcité, de la démocratie, de ses valeurs fondamentales, de ses citoyens, et d’Israël.
Par leur déni obstiné de la réalité, ils deviennent complices de la propagation de l’islam, l’islam suprémaciste, conquérant, belliqueux, liberticide, avec son cortège d’actions violentes et de revendications de plus en sectaires et communautaires. Plus l’Occident se veut humaniste, altruiste, ouvert, généreux, au détriment de ses propres peuples, plus il est haï, détesté, critiqué, menacé par ceux qu’il accueille, protège et nourrit gracieusement.
Notre tolérance est aujourd’hui utilisée contre nous et l’issue ne peut être qu’une seule… soit la révolte des peuples, soit leur soumission totale à la nouvelle idéologie islamo-nazie.
Ne réalisent-ils pas qu’ils sont en train de créer le terreau propice à l’explosion de futures guerres civiles en Occident ? Grâce à cette politique d’immigration suicidaire de l’Occident, délibérément imposée par l’UE « prix Nobel de la Paix », le spectre de conflits inter-confessionnels hante à nouveau le ciel de l’Europe.
Reproduction autorisée avec la mention suivante : © Rosaly pour Dreuz.info
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Europe: Islamic Fundamentalism is Widespread
A discussion paper published by the Germany-based Gustav Stresemann Foundation — a think tank dedicated to the preservation and advancement of liberal democracy in Europe — warns that national and international Islamic organizations are increasingly putting pressure on Western politicians gradually to criminalize any critique of Islam.
In a commentary on the study, the German newspaper Die Welt says the findings cast serious doubt on the unbridled optimism of European multiculturalists, who argue that Muslim citizens will eventually internalize the mindset of Western democracies.
The majority of Muslims in Europe believe Islamic Sharia law should take precedence over the secular constitutions and laws of their European host countries, according to a new study, which warns that Islamic fundamentalism is widespread and rising sharply in Western Europe.
The “Six Country Immigrant Integration Comparative Survey“—a five-year study of Moroccan and Turkish immigrants in Austria, Belgium, France, Germany, Holland and Sweden—was published on December 11 by the WZB Berlin Social Science Center, one of the largest social science research institutes in Europe.
According to the study (German and English), which was funded by the German government, two thirds (65%) of the Muslims interviewed say Islamic Sharia law is more important to them than the laws of the country in which they live.
Three quarters (75%) of the respondents hold the opinion that there is only one legitimate interpretation of the Koran, which should apply to all Muslims, and nearly 60% of Muslims believe their community should return to “Islamic roots.”
The survey shows that 44% of the Moroccans and Turks interviewed agree with all three of the above statements, which makes them “consistent fundamentalists,” and fundamentalist attitudes are just as widespread among younger Muslims as they are among older Muslims.
According to the study, Islamic fundamentalism is most pronounced in Austria, where 73% of Muslims interviewed say Sharia law is more important than the secular laws of the state; 79% say there is only one correct interpretation of the Koran that should apply to all, and 65% believe Muslims should return to their Islamic roots. In Austria, 55% of the Muslims surveyed say they agree with all three of the above statements.
The author of the study, the Dutch sociologist Ruud Koopmans, says that “comparisons with other German studies reveal remarkably similar patterns. For instance, in the 2007 Muslime in Deutschland study, 47% of German Muslims agreed with the statement that following the rules of one’s religion is more important than democracy, almost identical to the 47% in our survey that finds the rules of the Koran more important than the laws of Germany.”
The survey also shows considerable Muslim hostility towards so-called out-groups, which are viewed as threatening the religious in-group. For example, nearly 60% of the Muslims interviewed reject homosexuals as friends and 45% say Jews cannot be trusted.
Here too, Muslims in Austria appear to be more fundamentalist than in other European countries: 69% of Muslims in Austria say they reject homosexuals as friends, 63% say Jews cannot be trusted, and 66% believe the West seeks to destroy Islam.
By way of comparison, among European non-Muslim natives interviewed for the study in the six countries, 8% express mistrust against Jews, 10% against homosexuals, 21% against Muslims, and 1.4% against all three.
According to Koopmans, Muslim fundamentalism “is not an innocent form of strict religiosity…While about one in five native Europeans can be considered as Islamophobic, the level of phobia against the West among Muslims—for which oddly enough there is no word; one might call it ‘Occidentophobia’—is much higher still, with 54% believing that the West is out to destroy Islam.”
According to Koopmans:
“These findings clearly contradict the often-heard claim that Islamic religious fundamentalism is a marginal phenomenon in Western Europe or that it does not differ from the extent of fundamentalism among the Christian majority. Both claims are blatantly false, as almost half of European Muslims agree that Muslims should return to the roots of Islam, that there is only one interpretation of the Koran, and that the rules laid down in it are more important than secular laws. Among native Christians, less than one in 25 can be characterized as fundamentalist in this sense. Religious fundamentalism is moreover not an innocent form of strict religiosity, as its strong relationship—among both Christians and Muslims—to hostility towards out-groups demonstrates.
“Both the extent of Islamic religious fundamentalism and its correlates—homophobia, anti-Semitism and “Occidentophobia”—should be serious causes of concern for policy makers as well as Muslim community leaders. Of course, religious fundamentalism should not be equated with the willingness to support, or even to engage in religiously motivated violence. But given its strong relationship to out-group hostility, religious fundamentalism is very likely to provide a nourishing environment for radicalization.”
In a commentary on the study, the German newspaper Die Welt says the findings cast serious doubt upon the unbridled optimism of European multiculturalists, who argue that Muslim citizens will eventually internalize the liberal democratic mindset of Western society.
“The data are not suitable for simple conclusions,” the paper writes. “But it must be recognized: democracies must beware of those who believe a free society is something that needs to be vanquished.”
Separately, a discussion paper (German and English) published by the Germany-based Gustav Stresemann Foundation—a think tank dedicated to the preservation and advancement of liberal democracy in Europe—warns that national and international Islamic organizations are increasingly putting pressure on Western politicians gradually to criminalize any critique of Islam.
The author of the report, the German political scientist Felix Strüning, provides a meticulously detailed analysis of the Islamic lobbying effort—by means of a “human rights lawsuit”—to silence Thilo Sarrazin, a prominent German banker who has criticized the refusal of Muslim immigrants to integrate into German society.
During an October 2009 interview with the Berlin-based culture magazine Lettre International, Sarrazin said:
“A large number of Arabs and Turks in this city […] have no productive function except for the fruit and vegetable trade […] The proportion of births among Arabs and Turks is two to three times higher than their corresponding proportion of the population. Large parts [of this population] are neither willing to integrate nor capable of integrating. The solution to this problem can only be to stop letting people in […] except for highly qualified individuals and not provide social welfare for immigrants anymore […].”
“Integration is an effort of people who integrate themselves. I do not have to accept someone who does nothing. I do not have to accept anyone who lives from the state, rejects this state, does not reasonably provide education for his children and constantly produces new little girls in headscarves. This applies to 70% of the Turkish and 90% of the Arab population in Berlin. Many of them do not want integration.”
Thilo Sarrazin, a prominent German banker, has criticized the refusal of Muslim immigrants to integrate into German society. (Image source: Franz Johann Morgenbesser)
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The Turkish Union in Berlin-Brandenburg (Türkischer Bund Berlin-Brandenburg, TBB) responded by pressing criminal charges against Sarrazin due to alleged incitement-to-hatred (Volksverhetzung). However, German prosecutors concluded that Sarrazin’s statements were protected by the freedom of expression and they ceased their investigation.
The TBB then took its lawsuit to the United Nations Committee on the Elimination of Racial Discrimination (CERD), which was tasked with determining whether Sarrazin’s statements violated the International Convention on the Elimination of Racial Discrimination (ICERD).
In February 2013, CERD decided that Sarrazin’s statements “contain ideas of racial superiority, denying respect as human beings and depicting generalized negative characteristics of the Turkish population.”
CERD also stated that Sarrazin’s statements were “incitement to racial discrimination” because he favors refusing social welfare benefits for Turks and would (with the exception of highly qualified individuals) generally prohibit immigration.
More importantly, CERD criticized Paragraph 130 of the German Criminal Code, the so-called incitement-to-hatred paragraph (Volksverhetzungsparagraf), which protects the constitutionally guaranteed freedom of expression unless such speech is “capable of disturbing public peace.”
By contrast, the ICERD has a far lower threshold for determining when speech becomes hate speech. For example, the UN convention does not include the stipulation that such speech must be “capable of disturbing public peace.” As a result, Germany has come under pressure from CERN to change its domestic law in order to bring it into conformity with the UN convention.
According to Strüning, if Germany were to remove the legal threshold of “capable of disturbing public peace” from its domestic law, it would be possible to prohibit even fact-based statements about Islam or Muslims, which would amount to “an irreversible curtailment of the right to freedom of expression.”
Although the German government has so far refused to reopen the Sarrazin case, Strüning argues that “CERD demonstrates yet again the imminent dangers to the freedom of expression and other fundamental rights in Europe and the US when representatives of states, which clearly have a completely different understanding of human rights, are allowed to make judgments in the United Nations.” According to Strüning:
“Nation states obviously feel compelled to check whether existing laws have absolute validity or if an adjustment is needed…Dealing with the Muslim immigrant group very clearly presents a completely new political challenge because many Muslims very effectively preserve and hand down their cultural and religious values internally and represent them confidently outwardly.”
Strüning writes that German political authorities are increasingly bending to pressure from German Islamic organizations by adopting Muslim definitions of “Islamophobia” in public discourse, thus creating legal uncertainty as to “who can say what about Islam and Muslims in Germany.”
For example, German authorities have officially confirmed that they are monitoring German-language Internet websites that are critical of Muslim immigration and the Islamization of Europe.
The Hamburg branch of the German domestic intelligence agency (Bundesamt für Verfassungsschutz, BfV) is studying whether German citizens who criticize Muslims and Islam on the Internet are fomenting hate and are thus criminally guilty of “breaching” the German constitution. Meanwhile, the Bavarian branch of the BfV has warned Germans not to “equate Islamism with Islam.”
Strüning concludes:
“Critics of Islamic ideology and its organizations are constantly confronted with lawsuits and have to legally defend themselves against the accusations of blasphemy or incitement-to-hatred. Even if it does not come to a conviction, such processes cost a lot of time and money, which in many cases includes one’s reputation and possibly even his or her job. Thus, also in the West, we are experiencing an increasing de facto application of Islamic law in matters of Islam.”
Already today Germans can see that the so-called “spiral of silence” works in relation to Islam. “In a representative study in Germany, over half of the people surveyed admitted to not daring to criticize Islam or Muslims publicly,” Strüning writes.
Soeren Kern is a Senior Fellow at the New York-based Gatestone Institute. He is also Senior Fellow for European Politics at the Madrid-based Grupo de Estudios Estratégicos / Strategic Studies Group. Follow him on Facebook. Follow him on Twitter.
http://www.gatestoneinstitute.org/4092/europe-islamic-fundamentalism
ΙΝΦΟΓΝΩΜΩΝ ΠΟΛΙΤΙΚΑ
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ΑΠΟ ΤΗΝ ΓΑΛΛΙΑ ΜΕ ΑΓΑΠΗ